GURCIULLO est nè en Sicile, autodidacte il commence la photo assez tot. Ensuite il s'installe à Paris en 1981 et reste une 10 aine d'annèes.Commence travailler en professionnel independent. Son domaine preferè: le portrait et le nu.En noir et blanc, en pellicule et tire lui meme à l’ingradisseur sur papier barytè. En 1997 publie son premier livre: NUDI Vintage Photographs 1982 - 83
Depuis l’an 2002, la recherche photographique de MASSIMO GURCIULLO explore la notion d’identité dans la serie «Portraits Cycle» et il vien de publier ( 2005 ) son livre ( Portraits Cycle N°3 ), une edition de luxe imprimè sur papier coton en edition limiteè, signè et numerotè qui present le travail compris entre le 2002 et le 2005. PORTRAITS...30 ans est le troisième livre, que presente le percours des portraits faits depuis 1982 jousq'au 2012. En 2013 le changement: sortir du studio:SICILY ets son dernier livre ( 2017) sortie chez l'editeur The Unknown Books au Portugal.
“ Sicily “ suite...
Après la première édition de « Sicily » en 2017 pour la maison d'édition portugaise « The unknown books », le projet grâce à son succès auprès du public a èvoluè sous la forme d'un magazine annuel. Grand format et imprimé sur papier couché brillant fin, et en 2021 cette fois pour un petit éditeur sicilien (FSL edizioni) "Sicily # 2" voit le jour et, plus tard en 2022 "Sicily # 3".
L'œuvre prend forme comme une sorte de journal intime du photographe, sicilien d'origine, qui explore sa terre « tragique et poétique » à la fois.
Ce n'est pas la Sicile des clichés les plus connus, c'est un regard differend que permet de voir la Sicile autrement, dans une terre qui a connu 13 dominations dans l'histoire, la tragédie est presque un esprit vivant.
“Ne surtout pas dormir.La nuit est dense, cruelle, impénétrable, il faut rester aux aguets, s’accrocher aux moindres points de lumière, et tenir dans l’errance jusqu’au petit matin.
Sicily, du photographe Massimo Gurciullo, est le nom de code d’une terre sauvage et baroque, catholique et païenne, clanique et sensuelle”. (Fabien Ribery)
C'est impressionnant comment les images parviennent à trasmettre le sens de solitude. La photographie a toujour ètè une activitè solitaire. J'aime le jazz et je trouve beaucoup de points qui se touchent entre la photographie et la musique jazz, quand la photographie se proposé avec plus de liberté par rapport aux impositions techniques ou formelles, la technique n'est qu'une des composantes.Comme disait Jean Baudrillard, il faut chercher un transfert poétique pour produire l'émotion du réel sur une photographie. Mes photos representent une rencontre accidentale entre le tragique et le poètique.
Ca vit, ça vibre, ça bouge. C'est punk, destroy, et au loin on entend presque Iggy Pop qui braille The Passenger.
A lire Sicily #3 on a l'impression que le photographe aurait croisé Nobuyoshi Araki et Martin Parr pour emprunter chez l'un et l'autre le meilleur.
Parce qu'il y a dans les images de Massimo une esthétique trash, comme un Do It Yourself vital et ironique. ( Frèderic Martin)
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