Il y a de la sauvagerie, et une idée plus haute de la civilisation que celle promue par les pisse-froid du capital.On avance à tâtons, on ne sait pas très bien où est la sortie, mais on y participe pleinement, spectateur amené à perdre de sa superbe, élément d’un rite dont il ignore les codes. Dieu, dit-on, vomit les tièdes.Il bénira assurément l’auteur de ce livre au jour du jugement dernier.
Fabien Ribery (lintervalle blog)
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