Massimo Gurciullo
Photographies érotiques en flou et verre dépoli, car trop en voir dénaturerait le désir, ou alors tentative réussie de rendre le regard brouillé et confus d’un émoi trop vif, lignes dangereuses qui nous entraînent dans cette blancheur éblouissante où l’on ne désire qu’aller, comme des chiens pavloviens enchaînés par la nature de nos tourments, dans un jeu de forces symboliques en équilibre précaire qui retranche et soustrait jusqu’à ce que seul l’essentiel demeure.
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